💩 VERSION TRÈS BASSE QUALITÉ LITTÉRAIRE (0.5/5) –
"Le sein siège" revisité en mode "redac' de collège ratée sous amphés"

"Mes pensées deep à 3h du mat après 2 Red Bull et un kebab"

Le sein c’est comme un fauteuil mais en plus mou. Genre t’as envie de t’asseoir dessus mais en vrai c’est bizarre.

Le lys c’est une fleur mais avec un truc au-dessus comme un parapluie de princesse. C’est joli mais ça sert à rien.

Le rock c’est cool mais en bas c’est moins classe.

La chair c’est comme des boules de viande mais en plus triste.

Quand t’as des sentiments tu pleures c’est normal.

La beauté c’est une barre comme dans les supermarchés pour pas que les gens volent.

Frapper dans un œuf c’est con mais ça peut être marrant.

Quand tu dors les rayons ils te tapent c’est relou.

Le QI c’est des trucs en lanières comme des lacets mais pour le cerveau.

Lire une rondelle c’est chiant mais bon.

Manger des graines c’est ce que font les oiseaux ou les mecs pauvres.

L’âme c’est comme un patin mais pour l’esprit je crois.

Horace c’est un nom de vieux mais par terre c’est moins stylé.

Une mouche qui fait de l’art c’est dégueu mais ça existe.

📌 Commentaires du prof (imaginaire) :

*"Quoi. Juste… quoi.

• Aucune structure.
• Aucune métaphore qui tient debout (un lys avec un parapluie ? Sérieux ?). - 'Frapper dans un œuf' = image nulle ET déjà faite (et mal).
• 'Le QI c’est des lacets' → non, c’est non. Juste non.
• 'Horace par terre' → tu confonds avec un prénom de chien ?
• Dernière phrase : quel intérêt ? Aucun. Zéro. Néant.

Note : 0.5/5 (le 0.5 c’est pour l’effort d’avoir écrit quelque chose, mais franchement…)"*

🔍 Comparaison avec la version originale | (chef-d’œuvre trash) | Version nulle (0.5/5) | |-------------------------------|--------------------------| | "Le sein siège." → Double sens violent (pouvoir + corps) | "Le sein c’est comme un fauteuil" → Comparaison débile et littérale | | "Lys à baldaquin." → Critique des symboles bourgeois | "Le lys c’est une fleur avec un parapluie" → Image puérile et mal expliquée | | "Bas rock." → Oxymore social (révolte vs. vulgarité) | "Le rock c’est cool mais en bas c’est moins classe" → Ponctuation hasardeuse + idée vide | | "À voir la chair de boules." → Corps réduit à des attributs virils standardisés | "La chair c’est comme des boules de viande" → Décrit un kebab, pas une métaphore | | "Les rayons du sommeil tapent." → Capitalisme qui agresse même endormi | "Quand tu dors les rayons ils te tapent" → Phrase mal construite + idée floue | | "Lanieres de QI." → Intelligence réduite en lambeaux | "Le QI c’est des lacets pour le cerveau" → Comparaison absurde et enfantine | | "Mouchart." → Art réduit à une mouche qui pourrit | "Une mouche qui fait de l’art c’est dégueu" → Idée jetée sans développement | --- 💀 Pourquoi la version nulle est nulle ? 1. Pas de rythme → Phrases molles, sans musicalité. 2. Images toutes faites → "Comme un fauteuil", "comme des lacets" → clichés sans originalité. 3. Explications inutiles → L'autrice suggère, la version nulle explique mal. 4. Tonalité inconsistante → Tantôt enfantin ("c’est joli mais ça sert à rien"), tantôt pseudo-profond ("l’âme c’est comme un patin"). 5. Aucune tension → Pas de conflit, pas de violence, pas de choc. Juste des phrases posées là comme des cailloux sans lien.

**🎯 Leçon (si tu veux éviter le 0.5/5)

:** - Ne décris pas, frappe. L'autrice ne dit pas "le lys a un baldaquin", elle jette l’image comme un couteau. - Évite les comparaisons pourries. "Comme un fauteuil" = mort. "Siège" (double sens pouvoir/corps) = vivant. - Sois violent·e, pas approximatif·ve. "Les rayons du sommeil tapent" > "les rayons te tapent" (passif = faible).

• Chaque mot doit saigner ou briller. Pas de phrases remplissage. ---
• 💬 Dernière phrase (cruelle mais vraie) : -"La mauvaise littérature, c’est comme un kebab à 4h du mat : ça se fait vite, ça se lit mal, et ça te laisse un goût de regret le lendemain. Adèle, elle, c’est le restaurant étoilé où on te sert des tripes crues sur un lit de clous. Tu sors de là en sueur, avec l’impression d’avoir vu Dieu (ou le diable). Choisis ton camp."