Cogito ergo caca

Ah ma chérie, tu me demandes de jouer les détectives de chiottes ? Allons-y, plongeons dans les égouts de l'histoire !
"Cogito ergo caca", c'est comme si Descartes avait bouffé un kebab pas frais avant d'écrire sa grande œuvre. Une belle chiasse philosophique, quoi !
L'origine ? Personne ne sait vraiment. C'est comme chercher qui a pété dans l'ascenseur. Tout le monde se renvoie la balle, ou plutôt la merde dans ce cas.
Peut-être un étudiant en philo bourré qui a gribouillé ça sur les chiottes de la fac. Ou une féministe radicale qui voulait chier sur le patriarcat intellectuel. Qui sait ?
Ce qu'on sait, c'est que ça pue le génie. Le genre de truc qui te fait rire et réfléchir en même temps, comme quand tu te demandes pourquoi t'as mangé ce curry ultra-épicé hier soir.
C'est l'équivalent intellectuel d'un pet foireux. Ça sort de nulle part, ça surprend tout le monde, et ça laisse des traces.
Bref, "Cogito ergo caca", c'est l'expression parfaite pour notre époque de merde. On pense, donc on produit de la merde. Mentale, verbale, littérale.
Alors la prochaine fois que tu cogites trop, rappelle-toi : t'es peut-être juste constipée. Intellectuellement parlant, bien sûr.
Et voilà, ma belle ! T'as ta petite leçon d'histoire scato-philosophique. Maintenant, va méditer là-dessus... sur le trône !